samedi 28 décembre 2019

L'eau chaude.

C’est le 25 décembre... et oui, c’est le jour de Noël. Les préparatifs avancent bien, c’est l’heure de la douche. Je n’ai pas mentionné, qu’en ce jour de festivités, nous sommes les hôtes de cette soirée. Que la fête commence; la douche est froide, je perds mes sens, j’ai perdu l’eau chaude. Oui, le chauffe eau abandonne ses fonctions et bien que froide, l’eau ne me laisse pas de glace. La vaisselle s’empile, la petite bouilloire ne fournit pas dans sa tâche de nous fournir ce besoin élémentaire. C’est Noël demain faut changer la bête. Merci mes amis pour votre aide, parce qu'un plombier un jour férié...
Yan.

lundi 16 décembre 2019

Regarder l'arbre derrière la foret.

Je n’ai pas vu le soleil, j’ai vu sa lumière. Je n’ai pas vu les éclairs, j’ai entendu l’orage. Je n’ai pas vu la pluie, j’avais la tête dans les nuages. Mes distractions sont des rêves qui crées parfois des moments magiques. Voir au delà de ce qui ne se voit pas, imaginer la scène, avoir les yeux fermés. 
Yan.

lundi 25 novembre 2019

L’indifférence, vers quel chemin je me tourne ?

L’indifférence, c’est être dans le groupe mais ne pas s’y intéresser. L’indifférence, c’est de m’adresser la parole mais ne pas m’écouter. L’indifférence, c’est de poser la question sans demander la réponse. C’est d’être absent pour tous qui sont présents, c’est de participer sans se faire remarquer. Une forme d’intimidation, une invitation à se la fermer. Je m’en fou, je suis fou, je vous écoute mais je fais à ma tête. Je ne suis pas indifférent, simplement que je trouve parfois blessant l’ignorance qui est portée à bout de bras. Oui l’ignorance, c’est aussi ça l’indifférence. Trop d’idées mêlées, je sais plus vers quel chemin me tourner.
Yan.

jeudi 7 novembre 2019

Photos musicales !

Ce sont des photos, c’est le mouvement en images. Ce sont des photos, c’est la lumière du son que j’entends. Photos musicales, un cylindre de métal, ce n’est pas l'air l’original, mais c’est original. Regarder la mélodie, les images sont le rythme, ce n’est pas du métal et ça reste spécial. Il ne faut pas fermer les yeux pour apprécier la musique, il ne faut pas couper le son pour admirer la valse. Photo musicale c’est une préparation, une captation de la lumière, c’est de prendre son temps pour ce court laps de temps.
Yan.
Bon Délire !

mardi 29 octobre 2019

Une petite vite automnale

Une petite vite automnale, profiter des dernières couleurs, le soleil est chaud, c'est le bonheur. Une petite vite automnale, c'est bon pour le moral. Un intermède avant l'hiver, c'est une saison à part entière, dans le bois les feuilles tombées, seront bientôt enneigées. C'est à ce moment que nous nous rappellerons, que l'automne, c'est bon. J'ai rien contre l'hiver, mais après plein de centimètres et moins 20 celsius, je suis déjà pu capable d'entendre chialer et c'est à peine commencé.
Yan.

lundi 30 septembre 2019

Vacances 2.0. J'en veux plus !

J’ai couru toute l’année, je ne suis pas prêt de m’arrêter. Les valises, le bon linge, ne pas oublier, je suis mal préparé, je suis trop pressé.  Ça c’est des vacances ? Un voyage à la course, peu de temps pour moi, des heures pour arriver, pause, je suis fatigué ! Un moment à moi, cesser de penser, au diable la météo, en vacances il fait toujours beau. Enfin, j’ai trouvé un endroit où même s’il fait froid, j’ai le droit d’arrêter et de profiter. Au milieu de nul part, je cesse de marcher, enfin, je peux me reposer.
Yan.
                                                                 

dimanche 22 septembre 2019

Bilan vacances !

Mes vacances, c’est des kilomètres de vélo et des kilomètres de randonnées. C’est des heures à regarder de magnifiques paysages, c’est des bouffes gargantuesques, on est loin des pâtes à la sauce tomate du mercredi soir. Mes vacances, c’est des minutes de sommeil souvent d’une qualité douteuse, dans un lit d’un confort moyen. Mes vacances, bien que peu reposantes, c’est des montagnes de souvenirs, de bons moments, de grands paysages et de rires en bonne compagnie. Mes vacances, c’est terminé. Demain retour au travail et retard de deux semaines à reprendre. Le repos... une autre fois.
Yan.


samedi 14 septembre 2019

Ne pas vous le montrer ?

Ne pas vous le montrer parce ça ne rend pas justice à l’impressionnante vue. Ne pas vous le montrer parce que de toutes façon, beaucoup l’ont déjà montré. Peut-être que c'est pour vous laisser aller voir par vous même !?! Mais au final, je vous le montre… Je vous le montre parce que je ne peux résister. Je vous le montre parce que le paysage est trop grandiose et que je suis encore impressionné. En vérité, c’est parce que j’ai vraiment envie de partager avec vous, ce moment de ma vie où rien d’autres ne comptait, mis à part, l’instant présent.
Yan.

vendredi 6 septembre 2019

Écoute ton corps.

Se lever le matin et réaliser que la vingtaine fait partie du passé. Jouer au jeune, sortir tard un soir de semaine, mon corps me parle et le matin je ne me sens pas très malin. Aller jouer dehors, les sports extrêmes c’est beau, mais les bobos se pensent lentement lorsqu’on a quarante ans. Une mauvaise chute, le vélo tient le coup, ça va prendre beaucoup de glace pour le genou. Se lever le matin, courbaturé, je veux pas bouger. Mon corps me parle je l’ignore, il me crie et je fronce les sourcils.
Yan.
                                                             

mercredi 28 août 2019

Y en a des pires !

Qui n’a pas entendu ces mots. Impossible de se plaindre, il y a toujours quelqu’un pour te dire: « y en a des pires ». Souvent, ces gens ont raison. Mais laissez moi vous exprimer ma grogne. Lorsque je me « pette » le petit orteil sur un coin de divan, peut-être que y’en a des pires, mais ça fait pas moins mal. Quand on se compare on se console, mais moi, pour l’instant, j’ai le cœur qui bat dans mon petit orteil. J’ai le souffle court, j’ai envie de crier mais rien ne sort à part les larmes qui, elles, coulent sans gêne. Mais oui, y en a des pires.
Yan.

                                                           

mardi 13 août 2019

Pourquoi je me choque… une grenouille ?



- As-tu vu la grenouille sur la roche ?
- Quelle roche ? Y a cent roches devant moi !
- La quatrième en partant de la gauche au milieu !
- La gauche de quoi ? C’est où le milieu ? Je la vois pas là cr😡 de grenouille.
- Juste là, dans le rayon de soleil au milieu du ruisseau.
- Non mais merde, t’es dans le milieu du ruisseau juste dans le rayon de soleil; t’es toujours ben pas une grenouille🐸!!!
Non mais pourquoi je me choque ? Il fait beau, le décor est enchanteur et plus je m’énerve, moins je la vois. Mais là, tu vois, je me suis calmé et je l’ai finalement trouvé. Mais pourquoi je me choque… une grenouille ?
Yan.

dimanche 4 août 2019

Une autre saison chialeuse.

C’est l’été, c’est la nature, c’est les couleurs, c’est la verdure. Les belles températures, la chaleur, le ciel bleu. C’est le pollen qui enfle mes yeux, les moustiques qui ne s’arrêtent pas, c’est la pluie qui tombe juste le samedi. C’est le gazon qui pousse tout le temps, la piscine toujours trop froide, c’est le soleil qui brûle la peau. Ah oui, l’air climatisé ? C’est quoi cette invention, vous avez hâte à l’hiver ? L’été c’est des beaux moments, c’est des souvenirs, des arc en ciel après l’orage, un bon feu de camp après le jour, sortez les guimauves j’arrive et surtout; arrêtez de vous plaindre, l’été c’est beau.
Yan.


lundi 22 juillet 2019

Parce que t'es belle.

J’ai des moments de paresse, l’envie de réfléchir la lumière, de sortir de ma tanière s’absente. La fatigue me domine souvent, mais là, ça ne peut attendre. Même s’il fait chaud, que l’astre solaire s’éclipse rapidement, je me décide, c’est le moment. Le décor idyllique n’y est pas toujours, mais, parce que t’es belle partout, même ici c’est le paradis. En peu de temps les clichés sont enregistrés et déjà le soleil s’est couché. Faut parfois provoquer ces petits moments, savoir les apprécier et capturer ces beaux instants. Merci Mathilde.
Yan.

lundi 8 juillet 2019

Couper la ligne !

La ligne résidentielle, c’est celle qui t’appelle alors que t’es occupé. C’est la sollicitation, c’est un sondage, tu réponds, ça raccroche. Un fils qui te relie à un appareil d’un autre siècle ou la pile d’un sans fil qui t’abandonne avant même la conversation. La ligne résidentielle, c’est les communications en voie de disparition. Un numéro que j’ai maintenant délaissée au profit de systèmes sociaux, plus ou moins élaborés où l’on préfère ne pas se parler. La ligne est coupée mais les liens, malgré tout, se poursuivront. 
Yan.

dimanche 23 juin 2019

Le retard.

Le retard c’est aussi l’art de se faire attendre. C’est parfois la création du désir, c’est l’insouciance, peut être la négligence. Un incident, le trafique, le manque de sommeil, un oubli, c’est l’inspiration, l’imagination, la fabrication de raisons. Le retard c’est le temps que l’on prend pour autres choses, c’est éviter quelques instants la réalité qui nous presse. Le retard c’est... oups, je dois partir je suis en retard.
Yan.
                                                 

vendredi 14 juin 2019

Gestion de crise.

C’est une goutte d’eau dans l’océan, non c’est un torrent dans la pièce, il y a de l’eau partout. Un tuyau dans le mur a cédé sans demander. Un événement, qui sans changer le cour de l’existence, vient légèrement perturber la quiétude de ma petite vie sans inquiétude. Rien de grave, dans les faits c’est un moment presque banal de la vie qui n’aurait dérangé personne. Mais vous le savez, je ne suis pas personne. En fait, c’est qui personne (à lire :Un mot pour personne.) ? La “zénitude“ à mes yeux est une espèce éteinte. Non, je ne suis pas zen ! Sans vouloir jouer sur les mots, je perds le contrôle lorsque que je ne contrôle rien.
Yan.

samedi 1 juin 2019

Politique poétique.

Politique poétique c’est trop pas éthique. Les décideurs à l’heure d’écoute, entendent et décident sans écoute. Les concertations, geste publique démocratique, sourdes d’un message incohérent, de décisions pré définies. Politique de langue de bois, répondre sans rien affirmer. Langue fourchue, ne pas mentir, ne pas tout dire. La vérité désintéressée, des intérêts d’une poignée qui évitent les conflits sans céder. Voté, trompé, la corruption tradition d’un monde qui ne tourne pas rond. Le temps des politiques, des critiques, des idées réthorique, rien n’avance, je prends mes distances. Politique, pas éthique, c'est trop poétique.
Yan.


jeudi 16 mai 2019

Ca me fait peur.

Vieillir, c’est trouver que ses pieds sont plus éloignés qu’avant. C’est peut être juste réaliser que je vois moins bien. Vieillir, c’est de penser qu’il va pleuvoir lorsque tes genoux sont sensibles, ou refuser d’accepter le simple fait qu’ils sont usés. C’est réaliser que l’angoisse se montre plus rapidement lorsque les problèmes se manifestent. C’est de réfléchir plus longtemps avant d’agir. C’est de connaître ses peurs et mieux les affronter ou peut-être les éviter. C’est de regarder les jeunes téméraires et les envier, c’est se rendre compte que la vie est belle mais fragile. C’est oublier plus souvent qu’avant et...j’ai oublié mon idée. Vieillir c’est tout ça et plus et parfois, souvent, tout le temps, ça me fait peur.
Yan.
                                                                                 

jeudi 2 mai 2019

Volcaniser le côlon.

Ça travaille à l’intérieur, un mouvement ne cesse de perturber. L’activité anormale bientôt se manifestera. Enfin l’éruption, c’est un flot sans fin, c’est la puissance, la propulsion. Le cratère est en feu, ça brûle. La nature au vif, le calme éphémère, le volcan n’a pas dit son dernier mot. Encore une reprise, c’est à croire que ça va durer tout le temps. Après plusieurs heures, malgré la chaleur, c’est l’heure de l’introspection. L’exploration d’une cavité qui toujours te refuse l’entrée. Que découvrirons-nous ?
Yan.

                                                             

samedi 20 avril 2019

La dent sucrée.


J’ai la dent sucrée, je ne  pouvais attendre pour me bourrer. J’ai le palais collé et peut être les dents usées. Je me remplis la panse, je dévore, c’est intense. Le contrôle est parti, je me goinfre dans la folie. Je veux encore de ces petites gâteries, ma réserve rapidement s’affaiblit. J’ai la dent sucrée, pas juste pour les fruits, je veux des cochonneries au détriment de ma santé.
Yan.

mercredi 10 avril 2019

L’hiver se termine et pour plusieurs c’est tant mieux.

Le printemps souris à l’hiver qui, lentement, s’évanouie. Je marche après le dernier épisode des caprices hivernaux de mère nature. Le soleil chauffe la glace des arbres qui se tiennent encore. J’arête, je prends un court instant et j’écoute. J’écoute cette glace mourir à grand coup de craquements. Les arbres se libèrent lentement de ce lourd manteau givrant. L’hiver se termine enfin, dites maintenant bonjour au printemps.
Yan.


mercredi 3 avril 2019

Le temps des vacances.

Se donner le droit de ne rien faire, apprécier le moment et ne pas regarder le temps. Où je me trouve, il fait toujours beau. Même la pluie fait le beau temps (plutôt la neige et le vent). Perdu dans le bois, la nature me révèle ses secrets et m'impose son rythme. C'est maintenant que j'arrête, je respire et j'apprécie. Une pause bien méritée au sein d'une année mouvementée. Je fuis pour un instant une réalité essoufflée, je me repose de mes responsabilités, j'oublie les petits soucis de la vie. Avoir le droit de ne rien faire, apprécier le moment et ne pas regarder le temps.
Yan.

mercredi 27 mars 2019

Un plan qui frappe mal.

C’est un plan qui frappe mal. Ce n’est pas un plan, c’est un constat, une réalité, une fin. Moi qui croyais pouvoir vous garder tout le temps. C’est une douleur difficile, peut-être un peu égoïste. Aujourd’hui je m’inquiète… Oui je m’inquiète car je réalise pleinement que la vie est faite ainsi.
Yan.

                                                                                     


samedi 16 mars 2019

Parfois c’est lourd, c’est long, mais je comprends rien.


Je comprends pu le sens de la vie. Travailler pour de l’argent, pour consommer, pour réaliser, trop tard, que l’on fait tout ça pour rien. Pour des biens qui nous apportent, rien. Pour des voyages que même les souvenirs ne suivront pas la fin. Je suis un matérialiste compulsif qui n’achète rien… ou presque. Mais quand j’achète, je n’éprouve aucun plaisir… que des regrets. Aucune richesse monétaire ou matériel ne pourra suivre la fin. Aucun souvenir, aucune photo, aucun disque, aucun vélo, une maison, un auto, pas de chien, les amis, les amours, les liens crées. Je remplis mon compte à perdre mon temps devant un écran, à démêler un monde mêlé, je me sens inutile, des fois je me sens vide, je vieillis, le temps passe, je vous vois courir pour la retraite alors que j’aspire à arrêter le temps… celui que je perds devant mon écran, dans un bureau mal aéré, pour gagner, je veux dire, purger ma peine, celle d’une vie que je comprends pu le sens. Si vous avez pas tout compris, c’est pas grave, parce que moi non plus.
Yan.

vendredi 1 mars 2019

Loin ? Pas si loin.

Loin d’être perdu, nous étions loin. Loin des tracas, des angoisses du quotidien. Loin du bruit de la ville, mais pas si loin d’une grande métropole. Dans ma tête ce fut assez loin. Assez loin pour décrocher sans trop me fatiguer. Une sortie d’après midi où les soucis n’étaient pas invités. Un moment bien accompagné, une randonnée ensoleillée. J’étais loin d’être perdu, mais dans ma tête, j’étais loin et c’était bien.
Yan.




mercredi 20 février 2019

L'art métal.

Je pense que ce n’est plus un secret pour personne, j’aime les arts. Aujourd’hui, je l’affirme sans trop d’hésitation, je suis photographe. De ce fait, j’aimerais crier : “je vis de mon art“, mais ce n’est pas le cas. Mes réalisations, je veux les partager, les montrer et peut être un jour les voir dans vos salons. Cette année je cesse les rêves, je réalise. Certaines œuvres se sont déjà envolées, d’autres viendront s’ajouter et présentement, une superbe pièce vous attend. C'est une impression sur aluminium de grande taille, la nature qui imprègne à tout jamais ce métal froid. C’est un clé en main, sans superflu, elle ne veut qu’être exposée et peut être, vous faire rêver.
Yan.




dimanche 10 février 2019

Vas-y avec ton coeur.

Des mots que j’entends souvent. Le problème c’est que j’arrive pas à décider, je suis dans ma tête, je réfléchis... trop. Ne pas choisir, ne pas se tromper. Vas-y avec ton cœur, l’ennui, c’est que mon cœur n’écoute pas la raison que ma tête connaît trop bien. Vas-y avec ton cœur est peut-être simplement impossible. Peut-être au final que je n’ai juste pas de cœur, que je suis juste trop égoïste, peut-être que je suis trop radin.
Yan.
Bon Délire.

                                                                               

jeudi 31 janvier 2019

Est ce qu’on peut dire c’est bon ?

C’est une réflexion, c’est une question, mais je trouve ça bon. Si c’est bon, c’est pour tous ? Hors, pour certains c’est mauvais. Comme on m’a souvent dit : « tu ne peux pas dire c’est mauvais, tu dois dire j’aime pas ça » donc peut on dire c’est bon ? En tous les cas, moi j'aime ça !
Yan.
Bon Délire !

                                                                                         

vendredi 18 janvier 2019

Où ça mène... une fermeture.

Parler sans écouter, défendre son égal sans réfléchir à son rival. Critiquer au nom de sa raison, écraser, crier la trahison. Langue de bois, entendre sans comprendre, s'arrêter sur ces idées arrêtées. Raisonner sans "panser", argumenter se répéter,  j'ai blessé la pensée. Mauvaise fois, faire des choix, mauvais choix, se défendre je suis le roi. Où ça mène la fermeture ? Nul part.
Yan.

                                                                         

mardi 8 janvier 2019

Le calendrier 2019.

Le calendrier, c’est 12 mois de travail. Le calendrier, c’est une réussite précédée par plusieurs erreurs et quelques échecs. C’est des kilomètres parcourus dans toutes sortes de conditions à travers les saisons. Le calendrier, c’est découvrir ou redécouvrir de magnifiques paysages, c’est communier avec la nature et surtout, accepter ses caprices. J’ai eu froid, j’ai eu chaud, j’ai dû me lever tôt pour attendre le soleil, me coucher tard pour affronter la nuit parfois glaciale. Le calendrier, c’est un travail passionné toujours dans l’espoir de réaliser les plus beaux clichés. C’est un partage de mes différentes aventures, c’est le temps qui passe, c’est le temps que j’ai regardé passer et que je vous invite à regarder à votre tour.
Yan.