En ces temps d’angoisse tu m’oublies, je me méfie. Mes inquiétudes montent et ta foi en l’humanité s’estompe. Même si tu me tournes le dos, je reste l’ombre de moi même. La confiance réduite, l’estime amoindrie et moi, tu me tournes le dos. Confiné dans mes appartements je voudrais tant pouvoir te regarder et me dire : « je suis fier de ce que nous avons accompli» mais moi, tu n’y crois plus. L’espoir n’est peut être pas mort, mais retourne toi et regarde en avant.
Yan.