Les
restes d'un carnage, où la nature n'a pas encore pris sa place. Pourquoi ne pas
faire le ménage, effacer les traces de cette rage et oublier ce visage. Nature
démontage, je suis hypnotisé par ces belles images. Mais où est la beauté si
tout est dévasté. Le béton a succombé et l'emprise de la rouille ravage. Ce
fragile équilibre que l'homme ne peut contrôler, sur son vélo Danny l'a tout de
même un peu dompté. Ce paysage de carnage est pourtant une réalité qu'il serait
sage de ne pas ignorer. Homme qui croit dominer cette nature en otage,
encore tu récoltes le fruit de ton passage. L'histoire d'un saccage qui
aurait pu s'effacer, nous remémore qu'encore une fois, tournée est la
page.
Yan.
Yan.
Bon Délire.