vendredi 28 décembre 2018

Sucré à l'excès !

J’ai la dent sucrée, j’ai le goût coloré. Le pot aurait dû être rempli, mais j’ai la panse rempli de ses joyaux colorés. J’ai le sang calorique et les nerfs... nerveux. Le « rush » de sucre m’envahi et je me souviens que je n’ai plus dix ans. J'ai l'envie aussi grande qu’avant mais les sens moins tolérants. Maintenant que je suis bien sucré je laisse le temps passer et mes tremblements se calmer. Joyeuse fêtes à tous.
Yan.


lundi 17 décembre 2018

La réplique, un silence ?

J’attendais... J’attendais de voir l’importance de ma présence pour quelqu’un. Je me cherchais ne serait-ce qu’une infime motivation de poursuivre. L’inspiration me garde plein d’espoir, mais même en faisant les choses pour moi, j’ai aussi envie de les partager pour quelqu’un. C’est la réplique d'un silence ? À semer la motivation, je récolte un brin de folie. Mes délires sont vivants, ils se font attendre et même sans intérêt, ils se publient pour mon plaisir et peut être (j'espère) le vôtre.
Yan.
Bon Délire !
                                                   

samedi 8 décembre 2018

C'est un peu compliqué.

Au bout du chemin, éreinté, les idées pâles, vais-je y arriver ? Les traces s’effacent, je me perds dans mes pensées, j’oublie pourquoi… J’ignore où j’en suis, les saisons me dépassent, c’est ici que le chemin s’éteint. Malgré tout j’avance, le regard vide, les joues creuses, je fige devant la puissance de la vie, j’ignore où j’en suis. Dans ces couleurs effacées, se mélangent mes idées, c’est un peu compliqué.
Yan.


lundi 26 novembre 2018

Quand t'es malade.

Quand t’es malade, parfois tu délires ! La tête veut t’exploser, le corps te torturer, le cœur légèrement déplacé ne demande qu’à remonter. Les yeux vitreux, la sueur au front, pourtant je grelotte, j’ai les frissons. Je longe les murs, étourdi par une folie de la vie, la maladie. Jusque là, je gère. Mais lorsque le flot dormant de tous les instants se déchaîne! Le volcan de tous bords sortant, brûle les cratères de mon système digestif. La grève de la faim, forcée par ce corps fatigué, exténué, irrité. Une fin de semaine manquée parce que je n’avais pas prévu une défaillance immunitaire. Quand t’es malade, parfois tu délires, quand t’es malade parfois tu délires, quand t'es malade !
Yan.


samedi 10 novembre 2018

Boisé d'automne.

À la fraîcheur du boisé, je prends le temps d’exposer les dernières couleurs de l’automne. Sous peu, le blanc sacré de l’hiver aura vite fait oublier ces moments tranquilles. Cette douce coulée, dans la glace immobilisée, est ce que la vie prend une pause ?  Attendant ce moment, dans ce décor à l’abri du vent, je continue d’apprécier, la fraicheur du boisé.
Yan.


lundi 29 octobre 2018

L'horreur renouvelée.

Une ambiance ténébreuse, des rythmes exacerbés, des chants à faire frissonner. Des mélodies inquiétantes, je reste concentré. Les oreilles chargées d’une forme d’hystérie, elles en redemandent. Le nouvel album du groupe “Anaal Nathrakh“ hante les pensées d’un mélomane passionné. Les notes organisées, me projettent dans un univers déglingué, pourtant trop bien réglé. Je suis enivré, les sillons sont chauds, ce disque est possédé, je retourne l'écouter.
Bon Délire !
Bon courage !
Yan.


lundi 22 octobre 2018

Je veux bien mais...

Je veux bien vous écrire un texte réfléchi, mais j’ai pas le temps. Je veux bien, mais je dois couper mes ongles, j’ai mon lave-vaisselle à vider, mon lavage à entamer. Je veux bien, mais je dois travailler, j’ai du linge à plier, faut préparer l’auto pour l’hiver et j’ai juste pas le temps. Je veux bien, mais en vérité, je ne me donne pas la peine et j’ai mes téléromans (ok c’est pas vrai j’écoute pas de téléromans). N’importe quoi pour dire que j’ai pas le temps, plutôt que d’avoir l’honnêteté de dire que j’ai pas le goût. J’ai pas le goût de réfléchir, j’ai pas le goût d’écrire. Je veux bien mais…
Yan.


vendredi 12 octobre 2018

Je m'en fou.

L’indifférence c’est un phare sans lumière, c’est un enclos sans barrière. L’indifférence c’est le regard des autres qui se détourne de toi, c’est le vent qui souffle et qui t’essouffle. C’est un horaire sans heure, c’est le temps qui n’existe pas. Dans l’obscurité rien ni personne pour t’aider, te guider, ils t'ont abandonné. Les règles sont tombées, le “je m’en-foutisme“ est maintenant bien ancré. L’indifférence commence ou le respect s’éteint, mais peu importe, je m’en fou.
Yan.



dimanche 30 septembre 2018

Vision 2.0 !

Parce que mes verres ont cessé de regarder. Parce que la semaine est mouvementée. Je ne peux me permettre d’être ralenti par le flou de ma vision. Cette nouveauté sait bien me représenter, sobre à l’extérieur, légèrement colorée à l’intérieur. Même si j’ai la vue claire, je garde l’avenir flou et ces nouveaux verres ne sont qu’un éclairage sur le moment présent.
Yan.
(aussi à lire le début de cette aventure : Mon monde)


jeudi 20 septembre 2018

Vacances aux Îles !

Les îles! C’est la terre rouge, c'est les falaises, c’est la mer presque peu importe le côté que tu regardes. Les îles! C’est du sable... Un sable fin qui définit les plages qui sont magnifiques. C’est du sable, un sable blond qui façonne les dunes à perte de vue. Les îles! C’est petit mais grand en même temps, c’est des paysages qui changent tout le temps, c’est des moments calmes, parfois agités, c’est du vent. Les îles, c’est une expérience gastronomique en bonne compagnie. Les îles de la Madeleine, c’est tout ça et bien plus. Je suis revenu bronzé, du sable dans mes souliers, la tête remplie de  souvenirs et la panse bien repue. Je suis fatigué, maintenant je vais me coucher. Bonne nuit.
Yan.


jeudi 13 septembre 2018

Pas envie d’attendre !

Dernièrement, j'ai voulu manger « junk » je me présentai au resto pour un hot-dog et une poutine mais la file est longue. J’ai pas envie d’attendre. J’ai mangé une salade de pâte à la maison avec une carotte et quelques noix. L'autre matin je dois aller à la SAAQ, elle ouvre à 9:00. Je me pense « smath », j’arrive à 8:30 et quelle surprise, y en a 10 plus vite que moi. Donc en résumé, la SAAQ n’est pas ouverte et déjà je fais la file. J’ai pas envie d’attendre. Le centre ouvre et l’ambiance dans la file est à la fête, on dirait que tout le monde se connaît. Mais pas moi et j’ai pas envie d’attendre. J'ai pas envie d'attendre.
Yan.

jeudi 30 août 2018

Par derrière ? Pourquoi pas.

Est ce tabou de le dire ? Encore plus de le pratiquer ? Est ce bizarre d’y penser ? C’est normal, je devais juste y penser. D’où je me tiens, le point de vue est agréable. Prise par derrière, sans surprise, je vois son air fragile et coloré. Le résultat est apprécié, l’anémone se laisse apprivoiser le temps d’un cliché, d’un angle moins exploité. Par derrière ? Je dis pourquoi pas.
Yan

dimanche 19 août 2018

Clignements d'étoiles !

Saurez vous trouver l'étoile filante ?
Parce que je suis dans l’obscurité, parce qu’il suffit d’un clignement d’œil pour la manquer. Bien que je fût fatigué, je m’efforçai de garder les yeux ouverts. À l’affût du moindre changement, je reste concentré et garde le focus. Cette soirée nous a offert un spectacle formidable, mais capturer ces petites éphémères relève plus de la chance que de la compétence. Heureusement la patience récompense souvent le chanceux qui dort en moi. Enfin l’image est dans la boîte je peux dormir.
Yan. 



mardi 7 août 2018

Les jours, pareil pas pareil !


Les jours se suivent mais ne se ressemblent pas. Le travail nous prend la tête et le temps bien qu’inexistant, nous manque considérablement. La fatigue m’envahie et je suis trop paresseux pour photographier le monde. L’envie de déclencher reste malgré tout très présente. Les jours se suivent mais ne se ressemblent pas et je prends le temps de regarder ces changements.
Yan.



mercredi 18 juillet 2018

Bazzar

Le cirque du soleil... encore. Sensualité, simplicité, humanité, une grande humilité, mais surtout, le plaisir. Le plaisir de performer avec un grand sourire. Le plaisir de partager même les petites erreurs. L’humilité de se tromper mais de garder la joie, parce que c’est le fun. Ce soir c’est tout en sourire, dans des costumes bien colorés, que le cirque m’a fait plaisir et sourire. Un spectacle à voir.
Yan.

mardi 5 juin 2018

La pipe.


Une petite douceur que tous n’apprécient pas ? Un moment de convoitise, un instant relaxant. Prise en main, tu l’as allumée, elle est réchauffée. Tu l’apportes à ta bouche, sans lâcher-prise, tu savoures l’instant. Entre tes lèvres tu contrôles l’engin. Et voilà, c’est maintenant que ça vient et que tu apprécies toute la saveur. Ton labeur d’aspiration porte son fruit et sitôt le souffle repris, tu recommences et encore t’enivres des effluves qu’elle t’apporte. Mais arrête ! La fumée m’intoxique et avec ta grosse moustache tu assassines l’idée que je me faisais de la pipe.
Yan.

mardi 22 mai 2018

Et si la folie, douleur indolore !

                                                                                À écouter en lisant
                                                                               
Et pourtant, j’entends la souffrance. Tout le contraire de la délivrance, elle met à l’épreuve la tolérance. Je l’écoute, ferme les yeux et l’imagination se manifeste rapidement. C’est la névrose d'un violon, la folie d'une guitare, le désespoir d'un tambour, un scénario morbide. C’est le cœur qui bat la chamaille et qui tente en vain d’exploser la cage thoracique. C’est le sang que je sens parcourir dans mon corps jusqu’au cerveau qui, lui, ne cesse de traiter l’information. Ce concentré de réflexions que j’avoue bizarres. Ce n’est qu’une chanson qui me remplit d’émotions, c’est mon imagination « délirieuse », qui m’entraîne dans un monde que je vous partage. À relire, à répéter toujours plus rapidement...
Yan.
Bon Délire.

vendredi 11 mai 2018

"The Ex"

« The Ex », c’est un groupe qui roule sa bosse depuis près de 40 ans. Il ont exploré les genres sans jamais perdre leur couleur, leur saveur. Du vieux punk un tantinet expérimental, une touche jazz, rock, pop, rétro oui mais pas tant etc. Très minimalistes ils continuent de réinventer les riffs, de mélanger les émotions. Une bonne vielle recette qui se créée sans mesure, juste un goût que le palais sais toujours reconnaître. Maintenant, laissez cette chanson du nouvel album « 27 Passports » envahir vos oreilles et vous faire voyager dans l’étrange, dans le simple complexe et dans la maturité d’un groupe qui refuse de vieillir (à mon image quoi!).
Yan
Bon Délire !

                                                 Version live 

mercredi 2 mai 2018

Faut détruire la paix. Matière à interprétation, à ne pas prendre aux mots ou au maux) !

Et oui, la paix est un problème mondial. Faut détruire la paix pour sauver le monde. La paix c’est quoi ? Pour moi, la paix c’est une conséquence d’un conflit, d’une guerre. Je vous entends, « si y avait pas de guerre on aurait la paix ». De ce fait, faut détruire la paix et alors ni la guerre ni la paix ne seront du sujet. Demander la paix, créer l’indifférence, c’est le début de l’égocentrisme « sacrez moi patience et j’aurai la paix ». Recroquevillé sur moi même, je ne suis ni en paix ni en guerre, je ne suis pas indifférent mais svp, soyez tolérant.

Je suis un naïf révolté qui exprime sa folie. Je suis naïf et réfléchi malgré mes idées mêlées.

Yan.
Bon Délire !

                                                         

dimanche 22 avril 2018

Mes vacances. (voir le lien photos aide à imager le texte)

Mes vacances, c’est des matins tôt, très tôt, où les couleurs déchirent le ciel, où la brume créée des lumières éblouissantes. Mes vacances, c’est des rencontres avec de petits curieux, et des moins petits plus nerveux. C’est d’être au chalet et de regarder par la fenêtre pour apercevoir la vie sauvage qui s’éloigne sur le lac gelé. De belles promenades par ces journées ensoleillées ou des folies tête à l’envers sur le lac enneigé. Enfin, les vacances c’est profiter de la chaleur du chalet pour maintenir l’équilibre, ou même s’endormir un livre à la main devant le feu réconfortant. Mes vacances, c’est tout ça et rien en même temps.
Merci les vacances.
Yan.
Lien photos : Vacances

mardi 10 avril 2018

Trop rapide et plus lent, l'art de se faire mal.

Parce que des fois, on pense qu’on est pressé. Parce que des fois on se presse d’être pressé. Se ralentir en accélérant, gagner du temps tout en le perdant. Cette fois, je n’ai rien gagné, sauf le privilège de me retarder. Les traces s’effaceront, les maladresses s'oublieront et sûrement, je reprendrai ce rythme effréné, celui de l’inefficacité.
Yan.




mercredi 4 avril 2018

Ne pas attendre le printemps qui se fait attendre !

Parce que le printemps est à nos portes. Même si le froid saisi et le vent souffle présent, le plaisir reste l’élément dominant. En avril, ne te découvre pas d’un fil. C’est peut être vrai, mais rien ne dit qu’il faut s’arrêter. Balancer entre le sérieux et l’amusement à l’image d’un printemps qui, lui, se balance entre l’hiver et l’été.
Bon printemps !
Yan.

dimanche 25 mars 2018

Lundi au travail... et je rêve.

C’est enfermé dans mon bureau, sans fenêtre, que je m’ennuie de l’hiver. Je contemple ce souvenir, je ferme les yeux et ressens la douce chaleur du soleil. Une brise caressant mes joues, c'était une journée extraordinaire. J’ouvre les yeux, c’est inconfortable, mon bureau est laid et l’éclairage rend malade. Vivement que la journée se termine et que je sorte de ces couleurs « gastrophobiques » de ce local peu inspirant. Vivement les vacances !!!
Yan.


vendredi 16 mars 2018

Un brin nostalgique.


Un brin nostalgique, assis seul dans ma salle de musique, j'écoute de vieux classiques. Sans déranger, je me fais oublier à travers les notes bien placées. J'en veux davantage, je n'en ai pas moins, mais qu'est ce que je m'ennuie de vous mes amis. Rarement je me manifeste, trop occupé à me soucier de ne pas importuner. Isolé, je fais mon petit bonheur, je me sens un peu coincé dans mon univers et j’aimerais vous la partager, vous laisser y entrer. C’est un moment de solitude, un instant où je m’égare, c’est un temps un brin nostalgique.
Yan.
Bon Délire.

                                                           
                                                                 Toutes les pièces de cette album représentent bien ce Délire.                                                                                     

dimanche 11 mars 2018

Un sucré de cabane cardiaque !

Un "rush" de sucre et ou une recherche de crise cardiaque. Oui, c’est une image et c’est l’image que je me fais de la cabane à sucre. L’excès, comme si c’était le dernier repas. Le repas du condamné qui en a rien à foutre des conséquences d’une digestion difficile. Une nuit périlleuse s’envisage, les sueurs dans le dos, le gras de cabane qui remonte, me sort des "porcs".  Le sucre se fait sentir, je tiens pas en place, le coeur à fond, je suis fatigué. Je me sens le sang qui parcours mes veines. À la cabane, c’est savoureux, c’est salé, c’est sucré, c’est gras, je me suis régalé mais les conséquences digestives sont  "sucrément" salées.
Yan.
Bon Délire !

                                                                               

mardi 6 mars 2018

Un cercle vicieux ?


La vie c’est une chienne, la vie c'est l’envie. La vie c’est long, mais pas tant… même que parfois c’est trop court. Pourtant ce n’est pas une chienne de vie, mais j’ai vraiment envie de la vie sans envies. Parfois la vie te donne l’impression de tourner en rond, mais c'est un cercle vicieux qui, malheureusement, s'arrêtera un jour.
Yan.



lundi 26 février 2018

Jotnarr, pourquoi je ne connaissais pas ?? ?


Jotnarr, c'est quoi me direz-vous ? Et oui, c'est un groupe de musique. Obélix disait : "Ils sont fous ces romains", je pourrais surement en dire autant de ces anglais. Je ne saurais vous dire ce qu'ils mangent au déjeuner, mais je peux vous affirmer qu'ils maitrisent le rythme. La musique créée l’ambiance parfaite. Je ferme les yeux, je respire un grand coup et je profite de cette surprise.
Yan.
Bon Délire !