Cliché du cycle de vie.

Déjà je rejoins le cliché et la redondance, au moment où j’écris ces mots il se fait déjà très tard. Pour plusieurs d’entre vous le sommeil domine votre esprit. Écrire pour ne rien dire, critiquer sans rien apporter. Vouloir à tout prix avoir raisons sans aucune bonne raison. Ces mots vous devrez les accepter, les digérer. Au moment où vous les lirez, peut-être je dormirai d’un sommeil réparateur, celui ou plus rien ne compte et pour lequel  seule la respiration compte. Au matin, j’ouvre mes yeux, de mes courbatures je m’étire afin de recommencer une nouvelle journée. Rien ne se termine, rien ne se commence, tout tourne toujours en rond tel un cycle de vie qui lui pourtant se termine un jour ou l’autre.