Les biscuits.

Une tradition qui se poursuit, une bonne amie qui me fournit. Une recette parfaite, je vais pouvoir partager… En fait peut-être que je vais tous les garder. C’est une douceur sucrée qui ne verra pas Noël, c’est un biscuit sablé que je vais dévorer. Merci mon amie, tu m’as bien gâté, maintenant je suis rempli, il n’y a plus de biscuits.
Yan.

Un jour qui n’a pas changé ma vie mais que je n’oublierai pas.

9 juin 1993, c’est la finale de la coupe Stanley, dans ce temps là, le Canadien gagnait. Mais je ne vous parlerai pas de ça. Parce que ce jour-là, un trio de ti-cul avaient décidés de produire un show ! Pas trop d’argent, mais tous les rêves et possibilités de se bâtir un avenir. Donc j’ai pris mes faibles avoirs, j’ai réservé un gymnase d’école. Je communiquai avec le groupe Grim Skunk qui me dit “t’aimerais pas avoir le groupe B.A.R.F. en plus?“ Là c’est coulé dans le béton, on va devenir des stars... Ok, on est pas devenus des stars, mais on n’a pas perdu d’argent non plus. Ah oui, ma vie n’a pas changé non plus. Aujourd’hui je suis encore un artiste, celui dans l’ombre qui se trouve toutes les raisons de ne pas réussir. Celui qui ne vous dérange pas à essayer de vendre ses œuvres et qui par le fait même, n’en vend pas. Pourquoi je dis tout ça, c’est parce que même si ce jour n’a rien changé à ma vie, même si aujourd’hui je ne suis pas producteur ou gérant d’artistes, ce jour-là je m’en rappel parce j’ai eu du fun et rien ne pouvait m’empêcher de rêver.
Yan.

Mon TDAH.

Trouble du déficit de l’attention. Difficulté à rester concentré, trop d’idées que je regarde passer. Par la fenêtre les rêves; le travail peut attendre. Écouter sans vraiment écouter, excuse-moi, peux-tu répéter ! L’insomnie, ma meilleure amie, pourrais-tu m’oublier. C’est aussi un manque d’attention. Imaginer être le centre d’intérêt quand tu te prétends sans intérêt. Chercher les bons mots pour t’accrocher, mais lequel accrocher il y a trop de pensées. De quoi on parle déjà ?

Yan.
                                  

Le Délire vous dit merci.

Le Délire, c’est mon délire. C’est ma créativité que j’exprime sous plusieurs formes. Des critiques, des réflexions, des montées de lait, même des tranches de vie que je déguise pour ne pas trop me compromettre. C’est souvent de belles photos que je partage ou de la musique que j’aime. Le délire c’est plus de 12 années de composition, 167 pages d’écriture, 65658 mots. C’est aussi plusieurs textes qui n’aboutiront jamais. C’est 420 publications à ce jour et j’ai encore quelques idées de textes à venir. Le Délire, c’est vous qui prenez le temps d’ouvrir cette page et de lire mes idées pas toujours bien organisées. Et pour tout ça, je vous dis merci.

Yan.

Comme une étoile filante. (partie 2) (Je sais le titre est différent)

C’est la vie qui passe, je cligne des yeux et déjà une autre décennie. C’est la beauté que je regarde filer, c’est la lumière qui s’éteint aussitôt… que c’était beau. Il faut être patient, regarder droit devant, avec une peu de chance, tu pourras l’apprécier. C’est la vie qui passe, la sagesse que je n’aurai jamais. C’est mon adolescence qui se prolonge, une épopée que je ne veux achever. Ce fut un long voyage qu’elle a maintenant terminé. Que je suis chanceux, je l’ai vu se consumer. C’est la vie qui passe, savoure chaque instant de ce voyage dans le temps.
Yan.
Si tu n'as pas lu la première partie, c'est ici : Avant l'heure fatidique (première partie).

Avant l’heure fatidique (première partie).

Mais comment ai-je bien pu faire pour m’y rendre. Avant ce moment pas tant vénérable, je suis allé jouer au punk et j’ai vu un show de ‘’Descendents’’… Encore. J’ai fait du vélo de montagne et non je ne me suis rien cassé. J’ai photographié un éclair, une étoile filante, la lune, la nature. J’ai écouté beaucoup de musique et peut-être que j’en ai acheté trop. J’ai aimé, j’aime encore et croyez-moi, j'ai rêvé ! J’ai trop fait de folies pour toutes les énumérées, mais je pense que j’ai bien vécu (même si ce n’est jamais assez). Aussi, lorsque j’y arriverai, je serai en vacances et je me ferai un peu discret. Enfin, je sais aussi que ceux qui sont pour moi importants, ne m’ont vraiment pas oublié et encore moins ce moment.

Yan.

Coup de vent.

C’est une mélodie de mon ami François Leboeuf. Une musique bien ficelée, un mélange de créativité, d’inspiration et d’émotions. Malgré la douceur des notes, j’entends l’intensité transpercer la pièce où j’écoute. Peu de mots qui pourtant, à mon sens, en disent beaucoup. Faut l’entendre pour le comprendre. Vous devez aller écouter et faire en sorte que ces chansons ne soient pas qu’un coup de vent. Bon Délire!
Yan.

                                              

La France des maudits, (un nouvel album de Seth).

Un nouvel album du groupe Seth. Je m’installai confortablement, armé de mon dictionnaire (nécessaire), j’écoute et lis la prose de ces lugubres auteurs. L’aiguille trace les sillons, les notes résonnent, remplis de nostalgie, de douceurs et quelque peu d’horreurs. Les mots, bien ficelés racontent la douleur, la déchéance, le vice. Je prends un plaisir malin à lire et écouter ces musiciens.
Yan.
Bon délire.

                                 

Choisir le temps.

Bien que la vie défile rapidement, on dit souvent qu’il faut prendre le temps. Le temps d’apprécier dans ce monde où tout va à 100 à l’heure. Pourtant, bien souvent, je nous entends manquer de temps, courir dans ce monde fou, mais qu’est ce qui est donc si important. Je me demande lorsque j’arrête et savoure le moment, si je place bien mes priorités dans mon chaos désordonné. Les petites choses de la vie sont souvent gratuites et beaucoup d’entre nous semblent les oublier. Prenez 2 minutes, regardez autour de vous, il y a surement quelque chose de beau qui vaut ce moment.
Yan.

J'ai un ami dans la cour.

Un compagnon que ma douce n’apprécie guère. Dans le jardin, il se cache dans la terre. Il se nourrit, c’est l’instinct de survie. Des beautés du jardin, lentement anéanties. C’est la nature qui perdure, les pousses vertes incomplètes. C’est la nature qui perdure, c’est toute une aventure.
Yan.

Un show sans « Kodak »

Un soir où l’envie de déclencher ne manquait pas, mais j’ai décidé de me concentrer sur la musique. J’ai eu le plaisir de porter toute mon attention pour un groupe que j’aime, de profiter d’un moment de vraiment savourer. Aucune question technique, je ne me demande pas comment cadrer ou si la lumière est belle voir même s'il y a assez de lumière. Je ramène malgré tout des souvenirs que j'ai imprimés dans ma tête.

Yan.

                

L'oeil de la bête.

Les nuages qui font bon ménage, mon imagination et voilà sa création. Il se dessine dans le ciel, observe bien il pourrait se métamorphoser. Son long museau, sa dent acérée, la bête se pointe et me fixe brillamment. Le feu dans l’oeil, avant le coucher, le vent et l’obscurité, le monstre s’éteint comme il est né.
Yan.

S'éclipser pour la regarder.

Aujourd'hui j'ai regardé le soleil, ce gigantesque qui réclame tant d’intérêt. Pourtant, en cette belle journée ensoleillée, il a mené un combat contre cette belle inespérée, en plein milieu de journée. Étonnement plus petite, la lune s’est interposée et pour un court moment, nous a plongé dans son ombre. Aujourd’hui, j’ai regardé le soleil regagner sa place dans le ciel et celui-ci, refusera de céder pour encore plusieurs années.
Yan.

Les vacances, c’est vraiment ça ?

Deux semaines à réaliser que je ne sais pas comment ça fonctionne. Que dois-je faire ? Sortir, voyager, dépenser ou peut-être m’arrêter ? Est-ce que je peux juste me lever du divan pour changer de disque, faire mon cube Rubiks 200 fois par jour, regarder des vidéos youtube et peut-être aller marcher dans mon quartier ? Pourquoi je me sens coupable de ne rien faire, d'essayer de me reposer ? Je ne suis pas vraiment certain que j’ai bien compris le principe. Les vacances, c'est vraiment ça?
Yan.

Le desert.

Vision désolation, paysage aride, la vie s’adapte, je m’émerveille. Ce sable à perte de vue qui met ta vie en danger. Cette plage sans eau, ce soleil sans ombre, ce vent sans fraîcheur. Cette illusion, ce mirage, l’espoir de rencontrer l’oasis, la paix. Vaste étendu à perte de vue, mais comment traverser sans tout y laisser.
Yan.

Les groupes en ''A''

Le 27 décembre dernier, j’ai décidé d’explorer de fond en comble cette lettre. Bon, des groupes de musique qui commencent par cette lettre, je ne dois pas en avoir tant. Je ne réalisais pas l’ampleur de cette aventure. Je dois m’installer confortablement pour écouter toutes ces chansons… Ça va être bon. Du métal à l’ambiant, je bifurque au punk Rock, je survole aussi quelques notes de rock progressif. Une simple lettre et j’explore un arc en ciel de genres musicaux. 112 albums plus tard, environ 83 heures de musique en 38 jours et j’ai les oreilles qui en demandent encore. Maintenant, vais-je m’attaquer au ''B'' ?
Yan.

                                                       

Une erreur qui me coûte.

Un vendredi pas comme les autres, c’est la fin de l’année. Je reçois une notification pour un colis dans ma boîte aux lettres. Un facteur qui fait une erreur et une commande qui s'égare. Un disque est perdu, les sons ne résonnent plus. Il était cher et je le désirais. Je recommande et le voyage postal recommence. Aujourd’hui, la sonnette à la porte résonne. Mais qui va là? C’est une voisine inconnue avec mon colis inespéré qui est finalement livré avec 3 semaines de retard. Un album dispendieux que je recevrai encore sous peu. J'aime la musique!
Yan.