mardi 5 janvier 2021

Le mal qui brise.

Je brise les morceaux un par un jusqu’au dernier. Le cœur déchiré en lambeaux, marqué de cicatrices, bat la chamade. Ruiner ce qui pouvait être beau. C’est pas toi, c’est moi, c’est pas moi, c’est l’autre. Ronger par une souffrance intangible, crier à la solitude mais pleurer ton absence. Rager l’incertitude, laisser passer, se sauver. On dit qu’une image vaut mille mots, que le silence est éloquent, mais je dis que l’angoisse est ignorée, incomprise, que la vie est oubliée et soumise. Veuillez excuser tous ces maux, mais exprimer la souffrance représente une certaine délivrance.
Yan.

Malgré le mal, le monde ne cesse de tourner.


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Voilà : c'est fait.
Et un gros MERCI !!!!