Bien
entouré, je me sens seul. Dans les épreuves difficiles, je me ferme, m’isole.
Au plus profond ruminent les idées. Caché, je ne veux être questionné. De mes
larmes asséchées, je crie le vide qui me rempli. Aspirant tout dans son sillon,
rien ne peut l’arrêter. Je me plains, alors que d’autres souffrent en silence. Je
me tords de cette douleur invisible qu’on ne peut comprendre. Je
respire cet air souillé de l’hypocrisie de la joie de vivre. Comment pouvez
vous apprécier chaque moment, alors que vous en connaissez le dénouement.
De
retour de chez le médecin, il satisfait enfin à ma question ultime :
“Docteur, vais-je mourir ?“ C’est calmement et sans émotion, que celui-ci
me répond : “oui… Mais je ne peux vous dire quand !“ Bien entouré, je
me sens seul, je me ferme et m'isole.
Faut
que je sorte un “Délire“, mais à quoi bon si je n’ai rien à dire. En manque d’inspiration
je me rue vers une chanson.
Yan.
Bon Délire.
Yan.
Bon Délire.
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