mardi 27 mai 2014

Epecuén, la ville oublié.

Les restes d'un carnage, où la nature n'a pas encore pris sa place. Pourquoi ne pas faire le ménage, effacer les traces de cette rage et oublier ce visage. Nature démontage, je suis hypnotisé par ces belles images. Mais où est la beauté si tout est dévasté. Le béton a succombé et l'emprise de la rouille ravage. Ce fragile équilibre que l'homme ne peut contrôler, sur son vélo Danny l'a tout de même un peu dompté. Ce paysage de carnage est pourtant une réalité qu'il serait sage de ne pas ignorer. Homme qui croit dominer cette nature en otage, encore tu récoltes le fruit de ton passage. L'histoire d'un saccage qui aurait pu s'effacer, nous remémore qu'encore une fois, tournée est la page.
Yan.
Bon Délire.



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Et un gros MERCI !!!!