Quand tu m’as regardé, avec ton air indifférent, je
t’ai souri. Sans m’ignorer, je vois bien que tu t’intéresses peu. Un peu
curieuse, tu croises mon regard et te demandes ce que j’attends. Avec ton grand
manteau tacheté, lorsque je t’observe, tous semble se dérouler au ralenti. Je constate
le luxe de ton enclos et comprends ton air de bœuf. Tu te refuses au jeu de la
séduction et recules davantage à l’idée d’être considérée comme un morceau de
viande. Je dois poursuivre ma route et te laisser poursuivre ta journée à ruminer
autres choses que des idées. Après tout, ne le prend pas mal mais t’es une
vache.
Yan.
Aucun commentaire:
Enregistrer un commentaire
Pour vous aider à publier votre commentaire, voici la marche à suivre :
1) Ecrivez votre texte dans le formulaire de saisie ci-dessus
2) Si vous avez un compte, vous pouvez vous identifier dans la liste déroulante Commentaire
Sinon, vous pouvez saisir votre nom ou pseudo par Nom/URL
4) Cliquer sur Publier.
Voilà : c'est fait.
Et un gros MERCI !!!!