Après une journée difficile, je me fane, me
flétris. La chaleur influence la fragilité des pensées et je ne suis pas triste de m’éteindre enfin. Le soir venu, je me recroqueville et me protège
des attaques extérieures. C’est lentement que je me ferme, m’isole et me
confine. J’essaie de coller au bonheur et d’oublier la chaleur, la
sécheresse, la douleur. Quand le matin reviendra, je pourrai m’ouvrir et sentir à
nouveau l’agréable brise me bercer.
Yan.
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